jeudi 28 mars 2013

Top 5: les films Disney

5. Dumbo
La magnifique histoire d'un petit éléphant à qui la vie n'a pas souri. Je l'ai tellement regardé que je connaissais les paroles et les chansons par coeur, quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque j'ai entendu la nouvelle version à l'occasion de sa sortie en DVD. Non seulement les voix ne sont plus les mêmes mais les paroles des chansons ont été modifiées et ça me rend malade chaque fois que Lulu le regarde. Les oiseaux ne chantaient pas: "Je n'ai jamais rien vu d'aussi marrant que voir voler un éléphant" mais "Je n'ai plus rien à voir à présent si je vois voler un éléphant". Soit-dit en passant, ils étaient sous acide quand ils ont travaillé sur la parade des éléphants, c'est une scène quasi hypnotique.

4. Mary Poppins
La femme la plus parfaite du monde, celle qu'on aurait voulu chez nous, même une petite semaine. Toutes les chansons sont merveilleuses mais j'adore particulièrement celle-ci (et je suis déçue de n'avoir pu trouver une meilleure version vidéo).

3. Merlin l'enchanteur
Merlin l'enchanteur est le professeur que tout enfant aurait aimé avoir! J'ai appris des tas de choses avec lui et ça fait toujours plaisir d'être incollable sur la nageoire caudale! Un dessin-animé pour tous les âges car les constantes références au futur feront sourire même les adultes.

2. La petite sirène
Je me souviens avoir été le voir au cinéma avec mon père et une copine de classe et nous avons chanté les chansons ensemble jusqu'à la fin de l'année scolaire (ma copine et moi, pas mon père). Je rêvais d'avoir des nageoires et de découvrir le monde de la mer et mon adoration pour Ariel explique sûrement que je me suis coloré les cheveux en rouge pendant des années (et que mon avatar est rousse!). La première fois que j'ai revu le film avec ma fille, je me suis surprise à chanter "Partir là bas" sans aucune erreur, elle est juste inscrite en moi à vie.

1. Cendrillon
Mon grand-père avait l'habitude de m'appeler Cendrillon à cause de la sonorité proche de mon prénom. Heureusement car si l'on pense à ses conditions de vie, ce n'est pas vraiment enviable! Du coup, j'appréciais particulièrement ce dessin animé et même aujourd'hui, lorsque je le regarde avec Lulu, j'ai une boule dans la gorge quand Javotte et Anastasie lui déchirent sa jolie robe. On repassera sur l'idée que "le rêve d'une vie, c'est l'amour", comme elle aime le chanter, ça n'est pas très féministe! :)

Ceci est ma participation au top 5 de Maman Clémentine.

mardi 26 mars 2013

La propreté ? On a le temps !

S'il y a bien une chose qui tracasse tous les parents, c'est l'apprentissage de la propreté.

Ma mère n'a de cesse de me répéter que j'étais propre à 6 mois: chaque jour à 11h30, elle me mettait sur les toilettes et je faisais mes affaires. La crèche a tout déréglé car les puéricultrices ne voulaient pas s'embêter à faire la même chose (en même temps, je les comprends). Je me souviens que ma soeur était propre à 2 ans car lors de son inscription en maternelle, avec un an d'avance donc, elle a demandé à aller aux toilettes et le directeur a pu se rendre compte que nous ne mentions pas sur ce point-là. Elle m'a donc donné tout un tas de conseils pour faire en sorte que Lulu soit propre rapidement.
Quand celle-ci eut 18 mois, je lui ai acheté un réducteur de toilettes. Je ne voulais pas m'embêter avec un pot et je préférais largement qu'elle fasse ses affaires directement dans le trou plutôt que de devoir nettoyer à chaque fois. Ma mère m'expliquait que je devais repérer ses "heures" et la mettre dessus chaque jour à la même heure, comme moi à 6 mois. J'ai essayé quelques jours, sans succès, et c'était même une catastrophe car Lulu était très bancale sur le réducteur et s'agrippait à moi de peur de tomber. Par ailleurs, j'ai lu qu'il était très néfaste pour l'enfant de l'obliger à faire à heures fixes et qu'il s'agissait davantage d'un conditionnement que d'un apprentissage. Lulu devenant complètement phobique du réducteur de toilettes, j'ai  laissé tombé cette méthode.
Lorsqu'elle a eu 2 ans, en plein été, j'ai essayé de la mettre cul nul, une nouvelle fois sous conseil de ma mère. C'est une technique dont on entend parler partout et qui fait visiblement ses preuves. Je lui ai acheté un tas de petites culottes et j'ai sorti le seau et la serpillière. Ca a duré deux jours. Non seulement Lulu se faisait dessus sans s'en rendre compte mais en plus, elle était en panique totale, se mettait à pleurer, glissait dans la flaque et hurlait lorsque je la mettais sur le pot pour lui expliquer (parce que j'avais fini par en acheter un). Une cousine de mon mari, qui a un enfant du même âge que Lulu, expliquait à la même époque sur Facebook qu'elle avait laissé son fils se faire dessus et qu'il avait compris le concept au bout de 15 jours plutôt difficiles. J'étais horrifiée rien qu'à l'idée de faire subir une telle torture à ma fille pendant 15 jours et surtout de vivre avec une serpillière en guise d'extension de bras. J'ai de nouveau remis à plus tard.
Lorsque Teemo est né, Lulu a commencé à montrer qu'elle savait ce qui se passait dans sa couche. Je ne compte plus le nombre de fois où j'étais en train de donner le biberon à son frère et où elle est arrivée en me disant: "Pipi!" Je remerciais le ciel qu'elle soit encore en couche et que je n'ai pas à lâcher Teemo pour courir au pot. Je me disais que finalement, ça n'était pas plus mal d'attendre. A la crèche, on me disait qu'elle faisait pipi aux toilettes. J'étais très sceptique mais après tout, l'effet de groupe peut être un puissant moteur. Puis, au fil du temps, il s'est avéré qu'elle s'asseyait bien sur les toilettes... et qu'elle ne faisait rien. De la même manière, à la maison, elle s'amuse à s'asseoir sur le pot 3 secondes et demi et se relève en disant: "Ca y est!" alors qu'il n'y a rien.
Aujourd'hui, à 31 mois, Lulu n'est toujours pas propre et ne montre aucun intérêt pour le pot. Elle sait bien à quoi il sert et sait identifier le contenu de sa couche. Il lui arrive quelquefois de nous dire "Ca y est!" en montrant sa couche odorante mais la plupart du temps, nos narines s'en rendent compte avant elle. Et quand on lui propose de changer sa couche, elle refuse... Pas grave, je me dis que ça finira bien par venir et que rien ne presse.

Car c'est justement là tout le problème. La société presse les enfants pour qu'ils soient propres le plus tôt possible alors que les professionnels sont les premiers à reconnaître que ça ne sert à rien et que ça viendra tout seul. Voici quelques anecdotes:

  • Un jour que j'allais chercher Lulu à la crèche, j'entends la conversation entre le papa et la puéricultrice. Celle-ci lui explique que son enfant a fait pipi une fois aux toilettes et une fois dans la couche. Le papa est mitigé et la puéricultrice lui dit: "Ne vous inquiétez pas, monsieur, ça va venir!". Le papa sort et la maman suivante entre à son tour (on était nombreux ce soir là). Même chose, la puéricultrice explique que les couches de la journée étaient sèches et que s'il n'a pas demandé le pot, ce n'est pas grave car "ça va venir, madame, ne vous inquiétez pas!" Bizarrement, quand ce fut mon tour, elle n'a pas abordé le sujet, hihi. Mais ça m'a bien fait rire car ça montre à quel point les parents sont obsédés par le sujet à cette période de la vie de leur enfant.
  • Je suis allée voir le médecin récemment pour une visite de contrôle aux 2 ans et demi de Lulu. J'appréhendais bien sûr la question de la propreté et lorsque j'ai dit que ça ne l'intéressait pas du tout, le médecin n'a pas parue étonnée du tout. Au contraire, à la fin de la consultation, elle m'a dit que le langage de Lulu était encore à ses prémisses et que ça ne servait à rien de travailler la propreté tant qu'elle ne communiquerait pas plus aisément.
  • Lorsque je suis allée inscrire Lulu à la maternelle, j'ai bien évidemment posé la question fatidique: "La propreté est-elle une condition sine qua non?" Elle m'a répondu par l'affirmative et a aussitôt ajouté: "Mais vous avez le temps, ils sont encore petits, nous ne sommes qu'au mois de mars, ils ont bien le temps!"
Si tous les professionnels savent qu'une grande partie des enfants n'est propre qu'à 3 ans, pourquoi regarder de travers les parents dont les enfants de 2 ans ne sont pas propres ? Ce qui m'horripile le plus, c'est la copine maman qui me balance: "Mon fils de 2 ans n'est pas propre, il fait pipi dans le pot une fois sur deux, c'est horrible, je suis une mauvaise mère, comment faire?", j'ai envie de lui mettre un coup de boule et de lui répondre: "C'est à moi que tu demandes ça alors que tu sais que ma fille de 6 mois de plus ne s'approche même pas du pot à moins de 20 mètres?" Et j'ai des envies de meurtre lorsque je lis ce genre de récit:
Anaëlle a 25 mois et fait rarement ses besoins sur le pot. Tout mon entourage me dit qu'elle est en retard. Elle a bien compris le système et malgré tout, elle n'a pas le réflexe d'aller sur le pot lorsqu'elle a envie. Il y a des moments où je suis si fatiguée de nettoyer le "pipi" cinq fois par jour que j'aimerais lui remettre une couche. Mais je ne le fais pas, pour éviter qu'elle ne s'y habitue. Je ne sais pas si c'est une question "d'être prête" ou pas, ou si c'est simplement de ma faute. Bref, je me pose beaucoup de questions sans avoir forcément les réponses. Elle a, par ailleurs, des problèmes de constipation, qui ne nous facilitent pas les choses, d'autant plus qu'elle ne boit pas beaucoup et aime un peu trop les féculents. Je vais donc tester la solution pruneaux, en en laissant tremper quelques-uns dans de l'eau toute la nuit, pour lui faire boire le lendemain. Je vais essayer de lui cuisiner des recettes à base de légumes, mais je n'ai pas trop d'idées pour lui faciliter le transit intestinal, donc si vous avez des conseils à me donner, je suis preneuse. En attendant, je prends mon mal en patience, ma fille finira bien par être propre un jour.
Infobébés de mars/avril 2013
Mais laissez-les tranquille, bon sang! Oui, je me lâche parce que j'en ai marre. Marre de voir des enfants souffrir de se faire dessus parce que des parents ont jugé que 2 ans était l'âge limite. Surtout quand on sait que de 0 à 3 ans, le développement d'un enfant à l'autre n'est jamais le même. Mais il faut croire que si ton bébé ne marche pas à 12 mois, ne parle pas à 15 mois et n'est pas propre à 24 mois, c'est un demeuré qui ne fera jamais rien de sa vie. Et il est de notoriété publique que la propreté est source de constipation pour nombre d'enfants, alors avant de l'obliger à ingurgiter de l'eau de pruneaux, il faudrait penser à se poser les bonnes questions.

Flûte alors!

(Et je vous donne rendez-vous dans 6 mois pour voir si Lulu a décidé d'être propre pour l'entrée à l'école, gloups!)

lundi 25 mars 2013

La semaine de Cleophis (2013, s12)

LUNDI
Buzz sur la toile après cet article paru sur le site d'Oxybul au sujet des fessées. J'ai déjà dit sur ce blog que nous étions pour une éducation non-violente (j'aborderai le thème plus en détail dans mon article sur le livre d'Isabelle Filliozat) et je maintiens mon point de vue, même, et surtout, devant une Lulu en pleine crise de rébellion. Je considère que la violence est néfaste en toute circonstance et envers n'importe quel individu. Un chauffard vous coupe la route et provoque un accident, vous sortez de votre voiture pour lui mettre un coup de boule? Une dame profite d'un moment d'inattention pour vous piquer votre place dans la file d'attente, vous lui collez une gifle? Vous vous fâchez avec votre mari, acceptez-vous qu'il vous frappe pour vous faire taire? Non. Alors pourquoi s'autoriser à frapper un enfant? Dans un monde où on fusille du regard un maître qui donne un coup de pied à son chien, on trouve normal qu'un enfant se prenne une fessée parce qu'il a osé réclamer un peu trop fort un pain au chocolat à la boulangerie. Je ne suis pas parfaite, j'ai déjà cédé à l'énervement mais ça se compte sur les doigts d'une main et je fais tout pour trouver des solutions et éviter d'en arriver là. Je ne comprends pas qu'on puisse volontairement faire du mal à un (son) enfant, j'ai une boule dans la gorge chaque fois que je suis témoin de ce genre de scène.

MARDI
Un article édifiant sur la communauté gay et l'éternel problème de la tolérance. Je crois que l'homme est profondément communautariste; plus je vieillis, plus je m'informe, plus je me rend compte que l'intolérance est partout. On combat le racisme et on prône le droit des femmes d'un côté, quand de l'autre on défile contre les droits des homosexuels et on expose des idées masculinistes. Je crois que le combat pour le respect des uns et des autres est un très long combat, oserais-je dire perdu d'avance? En tout cas je garde bon espoir. Pas pour notre génération, probablement pas non plus la prochaine, mais dans quelques décennies, quand l'idée aura fait son chemin.

JEUDI
Soirée DVD devant J.Edgar de Clint Eastwood.

VENDREDI
Premier envoi suite à une vente sur le bon coin! C'était un article de grande marque, j'ai eu 3 acheteurs en une demie-journée mais c'est motivant!

SAMEDI
Découverte et inscription sur le site d'Hubwin mamans. C'est un réseau qui met en relation les mamans entre elles pour faire connaissance, partager ses bons plans, faire vivre sa région ou son département. Le réseau en est encore à ses débuts mais il ne tient qu'à nous de l'enrichir!

DIMANCHE
Aller-retour chez mes parents pour récupérer mon petit monstre! Bizarrement, la semaine s'est bien passée, elle ne nous a pas trop manqué. Je pense que nous commençons à nous faire à ses absences, enfin pas trop souvent non plus! La miss s'est éclatée à faire de la luge et à se rouler dans la neige et papi et mamie ont perdu 20 ans d'un coup. Elle a pris de jolies couleurs et paraît en très grande forme, ça fait plaisir.

samedi 23 mars 2013

J. Edgar de Clint Eastwood (2011)


Synopsis: Le film explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover. Incarnation du maintien de la loi en Amérique pendant près de cinquante ans, J. Edgar Hoover était à la fois craint et admiré, honni et révéré. Mais, derrière les portes fermées, il cachait des secrets qui auraient pu ruiner son image, sa carrière et sa vie.

Après presque 3 semaines d'attente, me revoici pour une nouvelle chronique cinématographique, et pas des moindres car il s'agit de l'excellentissime J.Edgar de Clint Eastwood, sorti dans les salles françaises en novembre 2011. 
J'ai été soufflée par la qualité de l'image, le sens de la mise en scène. Moi qui suis d'ordinaire plus attentive au scénario, je n'ai pu détacher mes yeux de ces jeux de couleur: on passe de la couleur ordinaire à une espèce d'ambiance froide avec des tons violets et noirs, quitte à frôler le noir et blanc par moment et cela donnait une valeur artistique à chaque scène.
L'interprétation de Leonardo Di Caprio est évidemment parfaite, je n'en attendais pas moins de l'un de mes acteurs favoris que je suis les yeux fermés depuis des années (et bien avant Titanic).
Nous y découvrons le parcours d'un homme hors normes et, même si j'ai eu quelquefois du mal à suivre la trame (je ne suis pas très calée en histoire américaine), les scènes du présent et du passé se mêlent si  bien qu'on ne se sent jamais vraiment perdu. J'ai aimé cette histoire d'amour si belle et si sincère et les dernières minutes du film sont parmi les plus intenses que j'ai pu voir. 
Un vrai bijou.

jeudi 21 mars 2013

Top 5: les livres d'enfance

5. Le club des baby-sitters

Parue à la fin des années 80-début des années 90, la série du Club des baby-sitters est un ensemble de nouvelles destinées aux jeunes filles. Je rêvais d'avoir des copines comme Valérie, Julie et Sophie, et de fonder mon club moi aussi. Les histoires étaient toujours touchantes et souvent serties d'une morale sur l'importance de l'honnêteté et de l'amitié.

4. Le Bouki club
Plus qu'un livre d'enfance, il s'agit surtout d'une collection. Je recevais chaque mois un livre du Bouki Club qui était composé d'un court récit et d'un véritable reportage sur le thème choisi. Mes préférés étaient celui sur le livre (forcément) où un petit personnage sautait de page en page pour expliquer la création d'un livre, celui sur le sommeil et celui sur le cheval (qui m'avait servi pour faire un exposé à l'école).

3. Matilda de Roald Dahl
Si je vous disais que j'adore Roald Dahl, vous seriez loin du compte. J'adule cet écrivain, il est pour moi un modèle, il est le dieu des livres pour enfants. Comme je ne pouvais décemment pas faire un top 5 avec uniquement des oeuvres de Roald Dahl , j'ai dû faire un choix et j'ai opté pour Matilda en troisième position. Cette petite fille, passionnée par les livres comme on peut le voir sur la couverture, vit dans une famille qui ne la comprend pas et se prend d'amitié avec son institutrice qui est la seule à s'intéresser à elle. Elle se découvre un don de télékinésie et s'amuse à rendre fou ses proches. Ceci explique que j'ai passé des heures dans ma baignoire à essayer de faire bouger le savon avec ma seule force mentale. J'ai jamais réussi...

2. Polly la futée et cet imbécile de loup de Catherine Storr
Il s'agit de petites histoires d'une à deux pages qui racontent la rencontre entre Polly et un loup. Celui-ci veut bien sûr la dévorer mais Polly trouve toujours une parade pour lui échapper et il se fait berner à chaque fois. C'est très drôle et facile à lire. (Je vous ai trouvé la version du Bouki club!)

1. Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl
Ce livre est et restera mon plus beau souvenir d'enfance. Je l'ai lu un nombre incalculable de fois, je pourrais le raconter sans avoir à l'ouvrir. Charlie est un personnage qui me fascine, si petit et si fragile et pourtant si mature, comme son grand-père, qui l'accompagne dans la chocolaterie, et Willie Wonka, bien sûr, l'un des personnages les plus extravagants de la littérature enfantine. Le film de Tim Burton est à la hauteur du livre, il a su reproduire ce que je voyais dans ma tête et je lui suis reconnaissante d'avoir fait découvrir ce bijou à la nouvelle génération. 

Ceci est ma participation au top 5 de Maman Clémentine.

mercredi 20 mars 2013

Chut, les enfants lisent: Mon imagier photo découverte: les chiffres

Je cherchais un livre pour apprendre à Lulu à compter et je suis tombée en admiration devant cette édition.
Les éditions De La Martinière Jeunesse nous présentent des animaux sur chaque double page avec quelques lignes pour en savoir plus. Les photos sont toutes de véritables oeuvres d'art, on découvre les animaux dans leur milieu naturel et elles sont tout simplement splendides. 


Et j'adore le final humoristique:
Les pages sont en carton plastifié, solide et facilement manipulable par les enfants.
Depuis Lulu s'entraîne et y on est presque: "un, dô, troique, cinq, six, sept, it, neuf, dix, neuf, dix".

Ceci est ma participation à "Chut, les enfants lisent" chez Yolina.

lundi 18 mars 2013

La semaine de Cleophis (2013, s11)

LUNDI
Lialia parle très bien du phénomène des blogueuses influentes et sur le choix que nous faisons à un moment donné de notre "carrière" de blogueur.
Lorsque j'ai créé mon blog, loin de moi l'idée de me faire de l'argent avec. A vrai dire, je pensais que c'était réservé aux blogs mode et beauté, j'avais déjà vu des reportages sur des filles qui arrivaient à en vivre (ce qui est très rare, soit dit en passant). En lisant les blogs de mamans, je me suis aperçue que le système de sponsors était généralisé et que les blogs devenaient un nouveau support publicitaire.
Lorsque nos comptes ont frôlé le rouge, j'ai pensé à faire la même chose. Je me suis renseignée un peu, j'ai même commencé une inscription puis... je me suis ressaisie. Non. Je ne veux pas d'article sponsorisé ou d'encart publicitaire sur mon blog. C'est sûr que j'adorerais me faire offrir des bottes, les jouets dernier cri, des articles de puériculture (on peut recevoir des poussettes!), des places pour un spectacle ou un séjour en thalasso, et en plus gagner de l'argent chaque fois qu'un lecteur clique sur le lien. Mais cela me paraît tellement mercantile, tellement commandé... j'aime que mon blog soit le reflet de mon âme et que mes articles soient spontanés.
D'autant plus que j'ai horreur de lire des articles sponsorisés qui font semblant de ne pas en être. On commence par une introduction anodine: "Tiens, j'ai regardé par la fenêtre et ça m'a rappelé mon enfance", on partage une anecdote, on fait semblant de creuser l'idée sur le net et hop: "C'est alors que je suis tombé sur le site de..." avec le lien. Et tout à la fin, écrit en tout petit, petit: "Article sponsorisé" ou "lien hôte". Et là, je râle derrière mon pc. J'ai l'impression d'avoir été trahie par l'auteur. D'avoir pensé partager un peu d'intimité alors qu'il ne s'agissait que de son porte-monnaie. Pire encore, les évènements que l'on retrouve sur la moitié des blogs: le concours pour l'intégrale de Friends, le code promo pour la nouvelle collection Vertbaudet ou le test de la Storio 2, pour ne citer qu'eux. Je me retrouve à lire 20 fois la même chose en 3 jours, c'est lassant.
Alors non, les articles sponsorisés ne passeront pas par moi. Na !

MARDI
Je réussis enfin à joindre Vidéo Futur au téléphone qui m'envoie un document à remplir pour déclarer la perte de l'envoi de DVD. Le téléconseiller s'étonne que j'ai attendu si longtemps et me demande pourquoi je n'ai pas appelé au lieu d'envoyer un mail. Bah, dans la mesure où toutes mes actions se font sur le site (choix des films, gestion du compte) et qu'il existe un formulaire de contact, je ne voyais pas l'intérêt de les appeler. Et quand on voit qu'il faut 3 jours pour arriver à les joindre...

MERCREDI
Cela fait quelque temps que j'essaye de vendre des objets sur Le Bon Coin: console Wii, vêtements enfants, mais je n'ai jamais aucun retour. Je vais commencer à croire qu'il n'est pas si bon qu'il veut le faire croire...

JEUDI
Euh... rien à signaler

VENDREDI
Article très juste chez Lucie de Paola sur l'illusion du maquillage. En même temps, j'ai peine à croire que des gens soient idiots au point de s'en offusquer.
J'emmène Lulu chez mes parents pour une semaine de ski! Du 16 au 23 mars, ils seront tous les trois à l'Alpe d'Huez, c'est la première fois que je suis loin de ma fille pendant si longtemps. Je me sens assez sereine par rapport à d'habitude, peut-être parce qu'elle est assez grande pour dire ce qu'elle veut et ne veut pas, peut-être parce qu'il s'agit de mes parents et que j'ai davantage confiance en eux. Dans tous les cas, ça nous fait une semaine de vacances, mon mari ayant pris ses congés, et on en avait bien besoin après les nuits catastrophiques de ces dernières semaines!

SAMEDI
Je profite de l'absence de Lulu pour potasser:
Un article étonnant sur le sexisme dans la culture geek. J'hallucine toujours quand je lis des choses pareilles, notre société est profondément gangrénée.

DIMANCHE
Visite chez une partie de la belle-famille qui n'avait encore jamais vu Teemo! Très bonne journée, des tonnes de choses à se raconter, comme quoi ça a du bon de ne pas se voir souvent. :)

jeudi 14 mars 2013

Top 5: les dessins animés de mon enfance

J'ai découvert il y a peu de temps Maman Clémentine et son blog et elle propose un top 5 chaque jeudi. Les derniers thèmes ne m'inspiraient pas beaucoup mais cette semaine, je suis enthousiaste: on va parler des dessins animés de notre enfance !

5. Inspecteur Gadget
Quelle petite fille n'a jamais voulu être la nièce de l'oncle Gadget et avoir un chien aussi génial que Finaud ! J'aime voir les épisodes qui passent encore à la télé de nos jours car l'inspecteur Gadget n'a pas pris une ride. Mon mari m'assure qu'on voit le vrai visage de Mad dans un épisode mais soit je ne l'ai pas vu, soit je l'ai occulté pour garder la part de mystère !

4. Le collège fou, fou, fou
L'un des titres phares du Club Dorothée et qui me faisaient hurler de rire. Ce que j'adorais, c'était les moments où ils devenaient tout petit et dansaient, c'était tellement ridicule !

3. La bande à Picsou
Je les enregistrais sur cassette vidéo, les uns après les autres, et je me faisais des après-midi entières avec la bande à Picsou. Mes épisodes préférés étaient la parodie de James Bond avec Flagada Jones et l'histoire de la toison d'or. Si quelqu'un pouvait me les trouver, ils feraient de moi une femme heureuse!


2. Max et compagnie
Max, ce garçon si gentil, trop gentil, coincé entre sa relation avec Pamela et son amour pour Sabrina. Cette dernière était d'ailleurs un idéal pour moi: belle et mystérieuse, quelle nana! Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi Max n'envoyait pas bouler Pamela tout simplement, il faut croire qu'il était flatté de son attention, quelle malhonnêteté tout de même!

1. Creamy magique
The Dessin Animé pour moi, le Very Best Of. Ma mère m'avait confectionné le petit médaillon que je portais fièrement à ma ceinture, et que je possède encore! J'ai acheté la première saison en DVD (la deuxième saison n'a jamais été commercialisée) et j'ai été un peu surprise de voir la pauvreté du scénario. Mais quand on est gamin, cela a bien peu d'importance!
Pumpululu Pimpululu Pampoumpam!

mercredi 13 mars 2013

L'art dans la peau

J'aurais aimé être une rebelle et avoir le look total gothique. Envoyer promener la société et vivre selon mes propres règles. Je craque toujours pour le rebelle de service dans les films et je rêve d'être aussi indépendante que Lisbeth Salender.

Sauf que j'ai été trop bien élevée et que je suis au contraire quelqu'un de très discipliné. Toujours dans les premiers de la classe, toujours à l'heure, studieuse, je respectais les règles et je culpabilisais pendant des jours si une copine m'avait poussé à sécher le cours de sport. Le tatouage a donc été pour moi une façon de montrer ma singularité et d'exprimer ma part de créativité.

J'ai fait mon premier tatouage à l'âge de 24 ans, autant dire qu'il était réfléchi. J'ai choisi l'omoplate droit et j'y ai fait inscrire mon signe astrologique, le cancer.
On m'a évidemment beaucoup taquinée sur le 69. Je le rappelle pour ceux qui en douterait, c'est bel et bien le symbole du cancer. 
Parce qu'on m'a déjà dit: "Mais c'est pas le cancer, ça, c'est le Poissons!", sur le coup, je n'ai pas pensé à répondre: "Merde, t'as raison! Je me suis tatoué n'importe quoi, j'ai pas vérifié avant!" Avant de faire le tatouage, je me disais que ça serait un petit clin d'oeil rigolo mais à entendre à longueur de temps des réflexions sur ce 69 douteux ou à voir des gens me demander si je viens du Rhône (département 69), j'ai revu mon jugement. C'est juste insupportable. Mais je ne le regrette pas.
Ce que je regrette, par contre, c'est son emplacement. Je trouvais ça sympa de le faire dans le dos sauf que je ne le vois jamais! Mes tatouages, je les fais pour moi, pas pour les autres, alors si je ne le vois jamais, ça n'a aucun intérêt. Il m'arrive de le regarder dans le miroir une fois tous les 6 mois pour voir s'il est encore beau ou de le redécouvrir dans la cabine d'essayage d'un magasin. Depuis, je tiens à ce que mes tatouages soient visibles pour moi.

J'ai fait mon deuxième tatouage à l'âge de 28 ans. Je me souviens que lorsque je suis allée dans le salon du tatoueur pour regarder les classeurs, mon homme, qui allait devenir mon mari l'année suivante, m'a dit: "Je ne veux pas d'une femme tatouée partout." et je lui ai répondu: "Bah c'est ce que tu auras!". Je ne savais pas trop ce que je voulais et je me sentais un peu mal car j'entendais les puristes dire qu'un tatouage devait être le reflet de l'âme et signifier quelque chose pour la personne. Je n'avais rien de particulier à inscrire sur mon corps, je voulais juste l'embellir. Ce sera finalement sa signification pour moi: l'envie d'avoir un joli dessin à contempler tous les jours. J'ai fini par me décider sur l'idée d'une plante qui grimperait le long de mon bras. Malheureusement, le jour du tatouage, on s'est rendu compte qu'il y avait quiproquo et que le prix et le temps annoncés ne correspondait pas du tout à ce que je désirais. Nous n'avons donc fait que l'avant-bras:
Et il remplit totalement son office: je le vois chaque jour, je l'admire et je n'ai que des compliments sur l'originalité et les couleurs lumineuses. Je l'adore.

J'ai fait mon troisième tatouage à l'âge de 32 ans, le 2 mars dernier! Je savais évidemment depuis longtemps que je ferais un tatouage pour mes enfants. A la naissance de Lulu, j'avais la tête occupée à découvrir mon rôle de maman et j'ai remis à plus tard, puis nous avons déménagé en Normandie, et c'est lorsque nous avons parlé de BB2, aux 18 mois de Lulu, que j'ai reporté le tatouage à la prochaine naissance. Je voulais inscrire leurs prénoms, pas leur date de naissance (car je ne voulais pas qu'on se moque de moi en me disant que je le notais pour ne pas oublier, j'ai assez donné pour les remarques débiles) et j'ai eu tout le loisir de la grossesse pour y réfléchir. Lorsque j'ai su que j'étais enceinte d'un garçon, c'est presque devenu une évidence: je voulais graver leurs bracelets de maternité sur mon poignet. Un rose, un bleu. Car j'aime la couleur, c'est ce qui rend mes tatouages si uniques à mes yeux. J'ai travaillé le projet très longtemps et c'est avec une idée très précise que je me suis rendue chez le tatoueur. Le résultat est à la hauteur de mes espérances:


Si je n'ai pas d'idée de tatouage futur, je ne pense pas non plus m'arrêter là. Peut-être encore un ou deux, ou peut-être aucun, seul l'avenir nous le dira, rien n'est gravé dans le marbre. La seule chose que je ne veux pas, ce sont de trop grosses pièces qui prennent la moitié du corps. Je suis davantage pour les petites touches de couleur ici et là. 

lundi 11 mars 2013

La semaine de Cleophis (2013, s10)

LUNDI
Je contacte Vidéo Futur par mail car nous avons envoyé les DVD il y a une dizaine de jours et le site ne les a toujours pas réceptionnés. Tant qu'ils ne les ont pas reçus, ils n'en envoient pas d'autres, ce qui explique l'absence de critique cinéma depuis Le Chat Potté. Je n'ai toujours pas eu de réponse à l'heure où j'écris cet article, je vais les contacter par téléphone directement pour que ça bouge.

MARDI
Visite médicale pour les deux loupiots. Teemo pousse bien et il a eu 2 vaccins, c'est à peine s'il a pleuré ! Un petit garçon très courageux. Les courbes poids/taille de Lulu sont bonnes aussi, tout va bien sauf que le médecin estime qu'elle a un petit retard de langage. On a fait des tests auditifs et elle ne réagit pas du côté droit, on ne s'inquiète pas pour le moment elle était peut-être trop accaparée par son jeu. Elle m'a dit de revenir la voir à la fin du printemps-début de l'été pour voir si le langage s'est amélioré et faire un nouveau test. Ses tympans sont parfaits et elle n'a jamais fait d'otite, on attend de voir...

MERCREDI
Sortie du patch 5.2 sur WOW ! Je passe ma soirée à combattre des mascottes d'élite pour le haut-fait et surtout le panda roux trop choupi. Mon guide est ici !

JEUDI
Après plusieurs jours de réflexion, je suis décidée à faire un article sur mes tatouages, quitte à dévoiler les prénoms de mes enfants.
Quand je suis tombée enceinte de Lulu, je rêvais d'en faire un modèle bébé, de courir les castings et de la voir dans les pages de Vertbaudet. Je ne l'ai pas fait car ce n'était pas compatible avec mon emploi du temps et de toute façon, Lulu s'est avéré avoir un caractère tellement rebelle que la moindre séance photo aurait été un calvaire... J'ai longtemps refusé de mettre des photos d'elle sur Facebook et je l'ai fais pour donner des nouvelles à ma famille qui est très éparpillée. Mais elles sont protégées et ne restent pas plus de 6 mois en ligne et je refuse catégoriquement que d'autres personnes que Piwix et moi affichent des photos de mes enfants sur Internet.
A l'ouverture du blog, j'ai bien évidemment écrit sous un pseudonyme et je me suis posée la question de savoir si je posterai des photos personnelles. La réponse est non. Etre mannequin enfant est une chose, voir des photos de sa vie étalée sur la place publique en est une autre. C'est ce qu'on appelle le "respect de la vie privée" et ce n'est pas parce que je suis leur mère que j'ai le droit de bafouer ce principe. Les derniers évènements dramatiques confirment mon choix: on voit trop souvent des enfants/adolescents qui vivent un calvaire à cause de leur mauvaise réputation sur le net, allant quelquefois jusqu'au suicide. Je pense qu'il est important de leur faire comprendre dès le plus jeune âge qu'Internet a une double facette et qu'il est dangereux de trop se montrer. Je ne veux pas que leurs camarades d'école leur lancent un jour: "J'ai vu une photo de toi sur Internet, ta mère a un blog, trop la honte!" (ce sera sûrement pas ce vocabulaire là mais je ne suis pas assez au fait du langage actuel, lol)
Car même derrière un pseudonyme, nous ne sommes pas des inconnus. D'autant plus que j'utilise ce pseudo partout où je vais donc les personnes qui me connaissent bien et qui tomberaient sur ce blog n'auraient aucun mal à me reconnaître. D'ailleurs une amie que j'avais perdu de vue depuis plus d'un an m'a contactée récemment par le biais du blog. Elle avait googlisé Cleophis, au hasard.
Bref, tout ça pour dire que dévoiler leur prénom ne me semble pas être un secret de la plus haute importance.

VENDREDI
En cette journée des droits de la femme, plein de bons articles ont fleuri sur la blogosphère. Mes faveurs vont à la fashion mama.
Je découvre cette histoire abracadabrante qui date un peu mais qui est tellement symptomatique du monde dans lequel nous vivons. Je pense avoir croisé quelqu'un comme ça sur WOW. Tout a commencé quand une druidesse a intégré notre guilde. Elle nous disait qu'elle reprenait le compte de sa soeur qui était décédée d'une maladie et quelque temps plus tard, elle a disparu sans donner de nouvelles. Au bout de quelques mois, elle est réapparue en disant que c'était le père qui reprenait le jeu en hommage à ses deux filles disparues. Je n'y ai jamais cru et ce qui m'a beaucoup désolée, c'est de voir des amis tomber dans le panneau de ce mythomane. C'était trop gros, je suis peut-être trop négative mais il y a des moments où il faut savoir être cohérent... et surtout honnête. Comme cette autre joueuse qui était mannequin et muette, atteinte de leucémie, qui est décédée elle aussi et dont le frère a repris le personnage (comme par hasard amie de la druidesse). C'est pitoyable d'en arriver à s'inventer une vie pour avoir un peu de considération.

SAMEDI
La mairie a organisé une réunion sur la réforme des rythmes scolaires. J'y suis allée en avance de peur d'avoir du mal à me garer et finalement, j'étais la première. Nous étions au final une cinquantaine de parents sur toute une commune et le maire a bien insisté sur le fait qu'il ne voulait entendre personne se plaindre à l'issue de la réunion, qu'il n'y avait qu'à faire l'effort de se déplacer. Il a bien raison. La commune serait donc prête à appliquer la réforme dès 2013, les enfants auront classe le mercredi matin et, en ce qui me concerne, les élèves de maternelle "travailleront" de 8h45 à 11h45 et de 14h15 à 16h30, ce qui laisse assez de temps pour la sieste. Le reste des activités prévues pour les primaires, qui finiront l'école à 15h30, me paraît plutôt bien pensé, à voir quand Lulu aura l'âge requis ! Ce sera un chamboulement pour l'organisation de la société, c'est sûr, mais s'il faut en passer par là pour le bien de nos enfants, nous nous adapterons (enfin espérons que la majorité des entreprises et des associations sportives suivent le mouvement sans faire trop de résistance).

DIMANCHE
Un dimanche à la maison, c'est si bon. :)

vendredi 8 mars 2013

Dompteur pandaren mythique


Le patch 5.2 est sorti hier avec la nouveauté concernant les mascottes: la présence de mascottes dites d'élite. Ce sont des mascottes particulièrement fortes qui demandent la dextérité d'une équipe complète de mascottes niveau 25 pour en venir à bout. Elles sont reconnaissables par la couleur de leur "patte" orange au lieu de verte pour les mascottes sauvages.
Si vous avez réalisé toutes les quêtes liées aux mascottes, Sara Finklecoupe pour l'Alliance et San le doux pour la Horde vous proposera une quête pour défier les 10 mascottes d'élite de Pandarie. Dans l'ensemble, prévoyez des mascottes de niveau rare et de type opposable à la mascotte d'élite (une machine contre une bête ou un aérien contre un aquatique).
  • No-no est une mascotte de type aquatique, située au Val de l'Eternel Printemps, à l'est du camp d'entraînement du soleil couchant. Elle est assez facile à battre.
  • Yi la chance, de type bestiole, se trouve au Giron dans la Vallée des 4 vents. Vous y arriverez aisément avec une mascotte de type bête.
  • Sabot-gris, de type bête, se trouve dans les Plaines sauvages de la Vallée des 4 vents. Prévoyez une mascotte qui encaissera ses charges. 
  • Glisseur Xi'a, de type aquatique, se trouve aux chutes Krasari dans les étendues sauvages de Krasarang. Prévoyez une mascotte qui soigne car ses dégâts sont assez importants.
  • Ka'wi le goinfre, de type bestiole, se trouve dans la Forêt de Jade, près du bosquet du Renard. Attention à bien choisir votre mascotte car il l'emprisonne, vous empêchant d'appeler à l'aide une autre mascotte.
  • Nitun, de type bestiole, se trouve également dans la Forêt de Jade, cette fois face à l'Ile du Front du vent. Prévoyez une mascotte qui encaissera le super coup juste après sa technique d'invisibilité.
  • Dos-Ryga, de type aquatique, se trouve au sommet de Kun-Lai, près de l'Etang des Branchies-d'Encre. Ses dégâts sont importants et il se soigne en plus de paralyser votre mascotte, il m'a fallu une équipe complète pour en venir à bout.
  • Kafi, de type bête, se trouve près du camp de Fleur de l'Hiver au Sommet de Kun-Lai. Si vous avez fait les quêtes de la zone, vous pouvez le manquer car il est sujet au phasing, allez-y avec un personnage qui ne les aura pas faites. Il n'est pas difficile à vaincre.
  • Ti'un l'explorateur, de type aquatique, se trouve dans les Steppes de Tanglong au nord de Gao-ran. En bonne tortue, elle va se protéger régulièrement, prévoyez un combat d'endurance.
  • Tripépine, de type bête, se trouve à l'Escarpement venimeux des Terres de l'Angoisse. Il utilise un saignement et un bouclier qui inflige des dégâts, une mascotte qui (se) soigne est fortement recommandée.
Une fois les mascottes d'élite vaincues, vous avez un haut-fait et pouvez parader avec le panda roux qui est juste magnifique!!!!
3 autres pandas sont disponibles dans les sacs de récompense de la quête journalière.

mercredi 6 mars 2013

Chut, les enfants lisent: De la tête aux pieds! de Kimika Warabe

J'ai acheté ce livre à une période où nous travaillions sur les parties du corps. 
4 petits camarades, un éléphant, un lapin, un chien et un ours, vont se laver après une journée de jeu intensif. Chaque page nous présente l'un des personnages en train de frotter une partie de son corps. Le texte a un effet musical grâce à la répétition du verbe: 


Le livre est maniable et en carton plastifié, il ne risque aucun accident! En plus d'apprendre à votre enfant les parties du corps, il présente aussi la douche comme un jeu, ce qui peut-être une grande aide quand il n'a pas envie de se laver! A vous de jouer à frotter, frotter, frotter...
Seul point négatif: le terme de pattes me semble inapproprié, je les remplace par bras et jambes. C'est l'avantage quand l'enfant ne sait pas lire, on peut lui dire ce que l'on veut!

Ceci est ma participation à Chut, les enfants lisent avec Yolina.

mardi 5 mars 2013

Le sexisme: un travail de longue haleine

Cet article risque d'être un peu désorganisé, c'est parce qu'il est le fruit de plusieurs semaines de réflexion.

Lorsque je suis tombée enceinte de Lulu, je savais déjà que je lui donnerai une éducation non-genrée. Je veux dire par là que je refuse les clichés sexistes et que je compte bien montrer à ma fille qu'elle est capable de faire aussi bien qu'un homme. De même pour mon fils qui aura les mêmes droits et devoirs que sa soeur, notamment en ce qui concerne les tâches quotidiennes. A l'époque, je me disais que le sexisme existait surtout dans les autres pays et qu'en France, nous étions beaucoup plus évolués sur la question.

J'étais bien naïve.

Tout a commencé lorsque j'ai appris que j'attendais un garçon. Dans la belle-famille, il y a deux filles en plus de Lulu, Teemo est le premier garçon, et voici comment mon beau-père a accueilli la nouvelle: "Enfin un garçon! Il va pouvoir les dresser." Ce sont plutôt mes cheveux qui se sont dressés sur ma tête et je n'ai rien dit. J'avais déjà entendu ce type de réflexion, je me suis habituée à les entendre appeler les filles les "pisseuses" ou les "pleureuses" en grinçant des dents. Pourtant, mon beau-père n'est pas du tout le type d'homme à rentrer à la maison et se contenter de poser les pieds sous la table, au contraire, il aide beaucoup sa femme et lui a toujours témoigné beaucoup de respect. Je me disais que ce n'était que des boutades et que j'arriverais à les corriger si nécessaire.
La dernière fois que nous les avons vu, j'ai réalisé que la tâche serait plus difficile que je ne le pensais. Alors que Lulu jouait avec le garage de sa cousine, ma belle-mère a dit: "Oh, Lulu aime jouer avec un garage, elle pourra jouer avec son frère!" ??? Parce qu'elle a besoin de son frère pour avoir accès à un garage (qui pour le coup appartenait à sa cousine)? Parce qu'ils n'auront pas d'autre activité ensemble? C'est quoi cette manière de cataloguer les jeux? Remarque, de la part d'une femme qui n'offre que des accessoires Hello Kitty, des petits poneys ou autres Zhu Zhu Pets à ma fille, il fallait s'y attendre (et Lulu a échappé à l'aspirateur parce que j'y suis farouchement opposée, ses deux cousines ont leur modèle réduit, elles). Mais ce n'est pas tout, c'est justement ce même jour que mon beau-père s'est cru malin en offrant à Teemo, 4 mois rappelons-le, un... pistolet. Il nous a avoué qu'il avait complètement craqué en le voyant et qu'il n'avait pu s'empêcher de l'acheter pour son petit-fils même s'il ne jouait pas avec.
Nous avons pris peur. Autant mon mari que moi. Le pistolet a fini dans les mains de Lulu et elle aime beaucoup jouer avec (même si ce genre de jeu violent me dérange un peu mais c'est en cours de réflexion car Piwix a joué des années à Counter Strike sans jamais se mettre à tirer sur le premier venu (on n'a pas d'arme à la maison, ça aide aussi)). Finalement, la partie sera sûrement plus difficile que prévu et même si je ne dis rien pour l'instant parce que Teemo est petit, ça ne passera pas si j'entends une réflexion du type: "Ce n'est pas bien de pleurer, Teemo, tu es un garçon, un garçon ça ne pleure pas!" (je le sens gros comme une maison). Je n'aime pas les conflits et j'ai peur de devoir y arriver si ça continue comme ça.
Du côté de ma famille, c'est beaucoup moins marqué. Même si le garçon était aussi très attendu, les jouets de Lulu sont diversifiés, surtout parce que j'étais moi-même une petite fille davantage intéressée par ses Transformers que par ses Barbies et que ma mère a toujours été très ouverte à ce sujet. Chez eux, c'est plutôt l'âge qui pêche, ils ont tendance à acheter des jouets destinés à des plus grands...
La catégorisation des jeux est un sujet encore très présent. Je me souviens avoir lu sur un blog une maman s'extasier devant son fils qui découvrait les voitures de son grand frère et qui disait que, finalement, "c'était bien dans les gênes". Il n'y a rien de plus faux. Il est prouvé que les enfants sont tout autant attirés par les poupées et les voitures, peu importe leur sexe, et cela ne présage en rien de leur avenir. J'adorais jouer aux voitures et je ne suis pas mécanicienne (je ne sais même pas changer une roue). Le problème est bien la continuité de ce type de clichés auxquels les gens ne font même plus attention.

Le sexisme m'avait aussi échappée jusqu'à présent en ce qui concerne les vêtements. Quand Lulu était toute petite, je piochais indifféremment dans les rayons filles et garçons, pas toujours différenciés pour les tout-petits d'ailleurs, et à part les robes, je ne voyais pas grande différence. A la limite, j'avais remarqué lors d'un printemps plutôt frais que les petits hauts filles étaient tous composés de petites bretelles à dentelles et qu'il m'avait fallu m'approvisionner chez les garçons si je voulais éviter que ma fille attrape la mort.
Je l'ai constaté une première fois à Kiabi et cette semaine, alors que je cherchais de nouveaux pyjamas pour Lulu à Carrefour, j'ai dû quitter le rayon bébé pour le rayon enfant (ma petite fille grandit si vite <3) et là, je suis restée ébahie devant le rayon:

Le message envoyé aux petites filles est très clair: pour être une vraie fille, il faut être apprêtée. Un petit noeud dans les cheveux, un sac à main fashion et vous voilà une vraie star. Je passe sur le fait que tous les pyjamas sont roses ou violets, j'ai réussi à dénicher un Hello Kitty simple et une jolie Raiponce dans ce méli-mélo de messages sexistes. Je ne suis pas contre le rose et les paillettes, ni contre les princesses Disney (Belle ou Mulan sont de bons référents féminins selon moi), je suis contre l'endoctrinement des petites filles à qui on apprend que leur physique détermine leur valeur. Et après on s'étonne qu'à 10 ans elles s'habillent comme des jeunes filles de 16 ans! Quand je vois Minnie sur un pyjama taille 2-3 ans, je n'ai pas besoin d'aller chercher plus loin.
Et cet apparat est vraiment de trop. Combien de fois je me suis offusquée contre mon mari qui me balançait, de passage dans la salle de bains: "Beurk! T'es pas rasée sous les bras!" D'une, c'est l'hiver et je ne porte que des pulls donc je ne vois pas l'intérêt, et de deux, ce n'est pas parce que je ne suis pas rasée de près que je manque d'hygiène! Quel scandale de voir une femme venir au travail sans être maquillée, on s'empresse de dire qu'elle ne sait pas prendre soin d'elle, mais un homme qui vient avec une barbe de 3 jours, c'est sexy. Non mais franchement... Ca m'énerve.
Pour en revenir à nos pyjamas, je suis quand même allée voir dans le rayon garçon.
J'ai trouvé les messages beaucoup plus neutres. Il y a bien Spiderman et Gingka, des héros forts et courageux, mais dans l'ensemble, ça reste sobre. J'ai d'ailleurs pris le pyjama Mickey gris pour Lulu (j'aurais bien pris le Mario en haut à gauche mais il n'y avait pas sa taille!). Les garçons ont le choix de la diversité, de devenir celui qu'il ont envie d'être.

Et ce que j'ai pu constater par moi-même dans le quotidien, ce n'est qu'une brindille dans le monde sexiste qui nous entoure. Je suis régulièrement les blogs de Sophie Gourion, Antisexisme et Kalista avec qui je découvre des choses qui me paraissent abracadabrantes, comme la blague sexiste et ô combien violente de Seth MacFarlane lors de la cérémonie des Oscars ou la campagne de publicité pour le salon du livre ancien. Une étude récente épingle d'ailleurs la place de la publicité sexiste autour de nous. Je ne comprenais pas l'intérêt de la journée internationale des femmes le 8 mars dans un pays comme le nôtre, je le pensais davantage destiné aux femmes du Moyen-Orient qui doivent encore lutter pour avoir le droit de vote ou juste sortir dans la rue, mais je m'aperçois qu'il y a encore beaucoup à faire pour la cause des femmes dans nos contrées.

Le sexisme est encore bien présent dans notre société et je vais avoir fort à faire dans les années à venir. Surtout quand j'entends Lulu dire, au moment de sortir jouer au ballon: "Ballon! Garçon!". Grrr!

lundi 4 mars 2013

La semaine de Cleophis (2013, s9)

Une semaine assez calme.

LUNDI
Mon mari part en déplacement à Rennes et ne rentre que mercredi. Je passe donc la soirée seule avec les enfants et ça se passe plutôt bien, à 20h30 tout le monde est au lit et moi sur le PC.

MARDI
Comme nous n'avons qu'une voiture, je suis bloquée à la maison avec les enfants. Pas grave, on arrive quand même à s'occuper, on court quelques minutes dans le parking avec le ballon mais il fait très froid! La soirée se passe bien jusqu'au coucher. Lulu a décidé de ne pas dormir et comme elle sait que je suis seule, elle va en profiter. Tel un lutin diabolique, elle me poursuit dans toutes mes activités, rigole quand je la recouche en faisant les gros yeux, m'engueule quand je lui donne une fessée à bout de nerfs ("Fait mal, maman!"). C'est horrible, j'ai l'impression de devenir folle. Elle finit par capituler à 23h30, davantage à cause de la fatigue. Je suis désespérée, je n'ai donc aucune autorité sur ma fille?

MERCREDI
Teemo se cale de mieux en mieux sur les heures de repas, il fait ses nuits jusqu'à 6h30 environ. C'est tôt mais c'est un début!
Le parrain et la tante de Lulu s'occupent de l'emmener et d'aller la chercher à la crèche, je peux profiter de ma journée pour me reposer et réfléchir à la soirée que nous avons eu. Je n'ai pas aimé mon comportement, j'ai été tantôt gentille, tantôt ferme, tantôt complètement dépassée, je ne me reconnaissais plus, les voisins ont dû me prendre pour une folle. Piwix et moi prônons une éducation non-violente: pas de fessée, pas de cris, pas de mise au coin. Pas tout à fait une éducation positive mais ça y ressemble. Sauf que face à une tête brûlée en plein terrible two, c'est très difficile. Je me promets d'être plus patiente et de me contrôler davantage car ce n'est pas un exemple à donner à ma fille. Le reste de la semaine se passera dans le calme, les conflits seront rapidement désamorcés, je pense qu'on peut y arriver mais il faut savoir prendre sur soi régulièrement.

JEUDI
Même après le retour de Piwix, les couchers restent difficiles. Nous avons bien un rituel mais ça ne lui suffit apparemment pas. J'ai l'impression que quoi que nous fassions, elle ne s'endort pas avant 21h30.

VENDREDI
Première sortie à la bibliothèque pour Lulu! Je ne suis pas très fan de ce genre d'endroit alors que j'adore les livres, c'est parce qu'en bonne consommatrice, j'aime posséder les livres que je lis. Je me suis dit qu'il serait pourtant intéressant de lui montrer d'autres lieux où se cultiver. Elle a beaucoup apprécié, Teemo un peu moins, il faut dire que j'avais oublié de lui prendre un jouet pour passer le temps! Nous y retournerons mieux préparés, c'est sûr.

SAMEDI
Grand jour pour moi, je me fais tatouer! J'ai inscrit les prénoms de mes enfants sur mon poignet, c'est magnifique (point de vue absolument pas objectif bien sûr!). Je meurs d'envie de vous le montrer mais cela signifierai vous dévoiler le prénom de mes enfants. Je suis encore en cours de réflexion.

DIMANCHE 
Bonne fête des grands-mères! (par téléphone en ce qui nous concerne).

samedi 2 mars 2013

Un petit tag en passant

L'année dernière, chaque fois que je voyais un tag sur un blog, je croisais les doigts pour qu'on pense à moi. Et ça n'est arrivé qu'une fois, de la part de Potzina. J'étais désespérée.

Depuis le début de l'année, je n'arrête pas de recevoir des demandes de tag, si bien que je me vois obligée de refuser! Parce que sinon, mon blog se résumerait à des tags et ça ne serait plus intéressant pour vous... La rançon du succès il faut croire et pourtant je suis loin d'avoir des centaines de visites par jour sur mon blog!

Cette fois-ci, et comme le dernier date du mois de janvier, je vais répondre à celui de Lialia parce que ça me fait toujours plaisir et que j'aime bien ses questions.

- Quel est ton plus beau souvenir de vacances?
Je suis allée en Floride avec ma tante, mon oncle, mes cousins et ma grand-mère lorsque j'avais 10 ans. Nous avons visité tous les parcs Disney puis avons passé quelques jours au bord de la mer. Un souvenir fabuleux et l'impression d'être dans un autre monde.

- Quel défaut déteste le plus chez toi?
Je culpabilise pour tout et n'importe quoi, c'est épuisant. J'ai tellement besoin d'être parfaite que je n'assume pas quand ça ne tourne pas comme je le voudrais. Je peux me relever la nuit pour faire la vaisselle ou revivre une conversation téléphonique pendant des jours. Mon mari n'arrête pas de me dire de lâcher prise et je sais qu'il a raison mais j'ai beaucoup de mal.

- Est-ce que tu crois que l’âme soeur existe? Si, oui, penses-tu l’avoir « déniché » (sorry pour ce mot mais je suis dans une phase cynique), et comment le sais-tu?
Je ne pense pas qu'on ait une seule âme soeur mais plusieurs. C'est surtout pour me rassurer car si mon âme soeur disparaît, cela voudrait dire que je dois continuer à vivre seule? Non, je pense qu'il y a plusieurs personnes compatibles avec nous, il suffit juste de les trouver. Et j'en ai trouvé une :)

- Préfères-tu vivre dans une maison ou un appartement?
J'ai toujours vécu en appartement donc ça ne me dérange pas le moins du monde. Je connais des gens qui ont vécu en maison et qui ont du mal à s'y faire. D'un point de vue pratique, je ne suis ni bricoleuse, ni jardineuse, donc je me vois mal m'occuper de tous les petits travaux d'une maison. Je préfère que ce soit la copropriété qui s'en charge! 

- Mer ou montagne?
Ce sont deux mondes totalement différent et j'aime les deux! J'adore aller sur la plage l'été et écouter les vagues (pas longtemps parce que je ne supporte pas la chaleur) et j'aime beaucoup skier même si ça fait des années que je n'y suis pas allée. Je ne suis jamais allée en montage l'été, ça serait un truc à faire.

- Ta devise? si tu en as une.
"Quand on veut très fort quelque chose, on finit toujours pas y arriver". Je vous laisse trouver la référence :)

- Sucré ou salé?
Salé!! Je pourrais me gaver de bretzels et de popcorn salé (découvert en Floride d'ailleurs), c'est pour ça que j'en achète rarement.

- Lecture ou musique?
Les deux. La musique me booste et la lecture m'apaise.

- Quel est ton style vestimentaire?
Le basique de chez basique, à mon grand regret. J'aimerais être fashion mais je n'y arrive pas, je craque toujours pour des vêtements passe-partout.

- Les voyages, loin ou près de chez toi? Pour les Européennes, ça revient à : dans ton pays, en Europe ou ailleurs …
J'aimerais aller loin, quand on en aura les moyens :)

vendredi 1 mars 2013

Le Chat Potté de Chris Miller (2011)


Synopsis: C’était bien avant que notre mythique Chat Potté ne croise la route de Shrek… Le légendaire félin, et non moins redoutable amant, s’était alors embarqué dans un périple riche en rebondissements, avec la ravissante et rusée Kitty Pattes de Velours et Humpty Alexandre Dumpty, véritable "cerveau" de l’opération. Leur objectif : s’emparer de la fameuse Oie aux Œufs d’Or pour sauver la ville où le Chat Potté a grandi. Voici l’histoire véridique du Chat, du Mythe, de la Légende et… des Bottes !

J'avais adoré la saga Shrek et je savais à l'avance que je serai séduite par ce spin-off. Ce fut largement le cas! On y retrouve notre ami le Chat Potté, toujours aussi séducteur et chenapan, depuis ses tous débuts de chaton et la première aventure de sa longue carrière. 
Les scènes sont à hurler de rire, les jeux de mots toujours aussi drôles, ce qui permet à ce film d'enthousiasmer petits et grands. Par contre, j'ai regretté qu'il n'y ait pas autant de référence aux contes comme dans Shrek.
En cadeau: l'irrésistible "oooooh cat" !! (à mourir de rire en situation)