dimanche 29 avril 2012

Mascottes #166, 167 et 168

Aujourd'hui, c'est l'ouverture de la Semaine des enfants !! Chaque azerothien est convié à prendre en charge un petit orphelin pendant une semaine et à lui faire découvrir le monde. Il y a trois orphelinats: à Hurlevent/Orgrimmar, Shattrat et Dalaran. A la fin de la suite de quetes, il y a des mascottes à la clé, que je n'ai pas manqué d'aller récupérer !

L'orphelin d'Hurlevent rencontre Malfurion Hurlorage et Tyrande Murmevent à Darnassus.

L'orpheline de Shattrat retrouve son ami à Nagrand.

L'orphelin de Dalaran s'extasie devant la statue d'un Titan.

Scooter l'escargot, récompense d'Hurlevent

Willy, récompense de Shattrat

Tétard oracle curieux, récompense de Dalaran

samedi 28 avril 2012

Thor de Kenneth Branagh (2011)




Synopsis: Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Seul son marteau pourrait lui rendre sa Force légendaire.

J'adore les super-héros et j'ai grand plaisir à voir tous les films dérivés qui sortent en ce moment. A l'arrivée des Avengers, il fallait que je rattrape mon retard et j'ai opté cette fois pour Thor. Mon regard était complètement neuf dans la mesure où je n'ai jamais lu aucun livre sur Thor, je ne connaissais absolument pas son histoire.
Vous dire que j'ai adoré serait un euphémisme. Ce film était une pure merveille, dans tous les sens du terme.
Tout d'abord, pour une novice comme moi, l'histoire de Thor était très bien expliquée. La mise en place des personnages est claire et précise, contrairement à certains films où l'on s'embourbe vite dans les bonds chronologiques ou les flash-back. Ce n'était pourtant pas gagné étant donné le nombre de personnages, de lieux et de peuples différents.
Ensuite, j'ai aimé le personnage de Thor qui nous apparaît au premier abord comme fortement antipathique puis gagne le coeur du spectateur, et de sa dulcinée, en se remettant en question. D'ailleurs, l'histoire d'amour avec Natalie Portman (encore elle, j'ai l'impression de la voir partout en ce moment) n'est jamais ridicule, juste ce qu'il faut (et je suis très difficile là-dessus).
Enfin, les scènes d'action sont superbes, les costumes et décors magnifiques, meme si avec les progrès de l'informatique on se doute bien que tout n'est qu'esbrouffe. Mais on se plait à y croire. On vibre avec les personnages, on se rebelle avec eux, on prie pour qu'ils s'en sortent.
Un très bon film, donc, qui donne envie de voir la suite.



mardi 24 avril 2012

I love you Phillip Morris de Glenn Ficarra et John Requa (2010)


Synopsis: L'histoire vraie d'un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l'homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu'où peut-on aller par amour? Très loin si l'on en croit l'histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l'évasion rattrapé par son romantisme.

Dans les premières minutes du film, le héros nous prévient que tout ce que nous allons voir est arrivé, réellement arrivé, et il fait bien de le préciser tellement son histoire parait incroyable. Steven Russell est un génie, un pro de la dissimulation et de la manipulation, qu'il utilise malheureusement pour escroquer les gens. Ce qui le conduit en prison et dans les bras de Phillip Morris, l'homme qui gouvernera son coeur et le poussera, malgré lui, aux pires extremités. Le talent de Jim Carrey crève l'écran encore une fois, cet acteur est le seul capable de passer d'une comédie loufoque (Menteur, menteur) à un film dramatique (The Truman Show) ou un thriller (Le nombre 23), sans jamais paraitre décalé, il est juste parfait. Par contre, j'ai été moins séduite par Ewan McGregor qui m'a habituée à mieux. Un film purement génial qu'il faut absolument avoir vu, vous ne regarderez plus votre relation amoureuse de la meme façon.


mardi 17 avril 2012

Mascotte #165 et autres nouvelles de WOW

Hier soir, notre mage Razorhead a terminé les quêtes pour l'obtention du bâton légendaire de Tarecgosa. Plusieurs mois de farm aux Terres de Feu en guilde, c'est qu'il en a fallu des braises de toutes sortes ! En cadeau, toute la guilde peut se pavaner avec la mascotte mini-Tarecgosa, contre pièces sonnantes et trébuchantes tout de meme. Un grand merci à ma guilde Spiritus Noctem sur les Clairvoyants et à mon amie Razorhead, qui en plus d'etre née le meme jour que moi va bientôt devenir naine ! Bises :D


J'en profite pour vous présenter la nouvelle figurine que m'a offerte mon chéri, il s'agit de Taz'Jindo, troll chasseur.




Sinon mes rerolls montent tout doucement: Elanne, gnome pretresse, est 63, Lierd, worgen druidesse, est 49 et Piamy, draeneï paladin, est enfin sortie de son ile et a atteint le niveau 24. Je ferai un point plus complet dans quelque temps. J'ai aussi clôturé mon compte SWTOR car entre les raids avec Cleophis, mon projet reroll avant MoP, quelques sorties sur la beta (mes articles sont sur Jeuxonline) et ma vie IRL, je n'ai plus de temps à consacrer à SWTOR. J'y reviendrai peut-etre un jour.

samedi 14 avril 2012

Sexfriends de Ivan Reitman (2011)


Synopsis: Adam et Emma se sont rencontrés brièvement à plusieurs moments de leur vie. Un soir ivre, Adam va chez Emma. Au petit matin, il se réveille nu sur le canapé de celle-ci et fait la rencontre des colocataires d'Emma. Après des explications, ils finissent par avoir des relations sexuelles ensemble. Ils décident par la suite de ne pas s’engager sentimentalement et de mettre en place des règles de conduites à respecter entre eux. Cependant, Adam finit par se rendre compte qu'il est amoureux d'elle et décide de lui en parler. Seulement Emma, qui s'est aussi aperçue de ses sentiments pour lui, refuse de les admettre et souhaite que la situation reste ainsi.

Je ne suis pas friande des comédies romantiques mais j'avoue que quelquefois ça fait du bien de voir quelque chose de plus léger. J'ai choisi Sexfriends parce que le sujet m'interpelle: si je n'avais pas connu mon mari si jeune, aurais-je pu avoir ce genre de relation avec un homme ? On sait bien évidemment comment cela va finir, j'avais juste envie de voir comment le thème allait être traité. A mon grand désespoir, je me suis ennuyée à mourir. Avec mon mari, nous avons même osé passer la fin en acceléré en imaginant nous-mêmes les dialogues, hyper prévisibles, juste pour voir si le film finissait sur leur mariage ou avant... Ce n'est pas tant le fait que ce soit trop mielleux, il manquait juste les petits clins d'oeil comiques (ou alors je ne les ai pas vus). Je me demande vraiment si je suis imperméable au romantisme ou si ce film était vraiment bas de gamme, si certains amateurs des comédies romantiques comme Filou pouvaient m'éclairer... En tout cas, un mec qui m'apporte un CD spécial règles, je ne le regarde pas avec des yeux doux, je le fuis en courant !


mardi 10 avril 2012

Mère épuisée de Stéphanie Allenou

4ème de couverture: Devenir mère, Stéphanie en rêvait depuis ses 15 ans. Et d'au moins 3 ou 4 enfants ! Au ssi, moins de deux ans après la naissance de sa fille, tombe-t-elle naturellement à nouveau enceinte. Surprise, ce sont des jumeaux...
Loin de la félicité attendue, elle plonge dans un quotidien d'angoisse et de fatigue. L'ex-éducatrice spécialisée est tout autant émerveillée que désarmée par ses enfants.
Mère épuisée est le récit du chemin accompli par Stéphanie pour retrouver l'équilibre: sortir de l'isolement, renoncer au fantasme de perfection, apprendre à éduquer autrement... Un témoignage positif qui touchera les mères débordées et aidera leur entourage à mieux comprendre cette situation, trop longtemps restée tabou.

Une petite pause dans la lecture de Millenium-3,  je crois que je commence à me lasser et les histoires de Säpo ne me passionnent pas beaucoup, pour lire ce livre plébiscité sur les blogs de mamans. J'ai très vite accroché à ce petit livre, écrit très simplement, dans lequel toutes les mères se reconnaîtront. Nous avons toutes connues des situations similaires à celles de Stéphanie: dans le passage où elle dit qu'elle n'a pas de repos, meme aux toilettes, car les enfants viennent sur ses genoux ou tambourinent à la porte en hurlant, j'ai cru voir ma fille. Et je n'en ai qu'une ! Je n'ose imaginer dans quel état je serai si j'avais 3 enfants de moins de 3 ans, dans le meme état qu'elle, surement... La force de ce témoignage, c'est de nous montrer que nous sommes toutes humaines, que la maman parfaite n'existe pas et que lorsqu'on sent qu'on perd pied, il est possible et nécessaire d'appeler au secours, de demander de l'aide. Elle raconte qu'elle attendait de la part des autres mamans qu'elle croisait au parc ou à la sortie de l'école, un sourire, une approche, quelque chose qui lui permettrait de sortir de l'isolement dans lequel elle était. J'ai repensé à toutes ces mamans que je croise au parc et à qui je n'ose pas m'adresser, ne sachant pas quoi leur dire, ne sachant pas si elles ont envie de ce contact, aujourd'hui je me dis que je ne devrais pas hésiter et faire un pas vers elle. Sait-on jamais, peut-être ont-elles comme moi envie de discuter sans oser le faire ?

mercredi 4 avril 2012

mardi 3 avril 2012

Super 8 de J.J. Abrams (2011)


Synopsis: Été 1979, une petite ville de l’Ohio. Alors qu'ils tournent un film en super 8, un groupe d’adolescents est témoin d'une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Ils ne tardent pas à comprendre qu'il ne s'agit pas d'un accident. Peu après, des disparitions étonnantes et des événements inexplicables se produisent en ville, et la police tente de découvrir la vérité… Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer.

ATTENTION SPOILER

J'avais été séduite dès la sortie du film et le synopsis qui circulait sur la toile, j'avais hâte qu'il sorte en DVD. Le seul inconvénient de devoir attendre une sortie en DVD est qu'on risque d'en entendre trop et c'est ce qui est arrivé. J'aurais aimé ne pas savoir qu'il s'agissait d'extra-terrestres, le synopsis en disait suffisamment, mais il a fallu que certains soient trop bavards sur leurs blogs, Facebook ou Hellocoton sans prévenir...
En regardant Super 8, j'ai eu l'impression de retourner en enfance et de redécouvrir ce qui me plait dans le cinéma. En effet, j'étais une grande fan des films mettant en scène des enfants comme ET, Les goonies, Maman, j'ai raté l'avion, L'histoire sans fin ou encore Chérie, j'ai rétréci les gosses.  Je les regardais en boucle, je connaissais les répliques par coeur et je rejouais les scènes dans ma chambre, en sortie à la forêt ou encore dans le jardin de mes grands-parents. Tout était prétexte à revivre leurs folles aventures, j'aimais m'imaginer que, comme eux, j'étais capable de venir à bout de tous les dangers avec ma bande de copains. D'autant plus que je n'ai jamais été très sociable et que j'avais très peu d'amis. M'imaginer etre l'héroïne de ses films était une façon pour moi d'être entourée. Dans ce film, tous les éléments qui font à mon sens un bon film d'aventure pour enfants est présent: le groupe de copains, la fille un peu inaccessible, l'élément extraordinaire que les adultes ne peuvent pas comprendre, la force d'un groupe qui décide de s'allier envers et contre tous malgré leur jeune age. J'ai adoré ce film comme j'aurais pu l'adorer plus jeune et je suis persuadée qu'il comptera parmi les films cultes de la nouvelle génération.


Super 8 n'est pas non plus sans rappeler Rencontres du 3ème type et ET de Spielberg. Même si le film est signé J.J. Abrams, on sent bien la touche du producteur. Les enfants se retrouvent confrontés à une armée américaine stupide et impitoyable et ne doivent compter que sur eux-memes pour sauver leur petite ville, leur courage est sans faille et bien supérieur à celui des adultes, qui finissent tout de même à se rallier à leur cause, alors que tout est déjà réglé. Par ailleurs, l'extra-terrestre n'est pas une menace, il ne cherche qu'à rentrer chez lui, même s'il est un tantinet plus agressif qu'ET. C'est la bêtise humaine qui est à l'origine du chaos, cette recherche constante du contrôle: l'armée décide de la vie de l'extra-terrestre contre son bien-être et les adultes décident des fréquentations de leurs enfants en fonction de leurs affinités personnelles et non de l'intéret et du goût des enfants.


Enfin, j'ai particulièrement aimé le bonus pendant le générique où nous voyons le montage final des enfants. Une bien belle manière de clôturer l'histoire et de montrer que la trame, et surtout le titre, n'étaient pas seulement un prétexte. Néanmoins, il n'est pas fidèle au film puisque certains plans n'ont pu etre tournés de cette façon, nous en avons été témoins (notamment lors du passage du train). C'est bien dommage, ça lui enlève toute crédibilité.