jeudi 24 mai 2012

Tron l'héritage de Joseph Kosinski (2010)


Synopsis: Sam Flynn, 27 ans, est le fils expert en technologie de Kevin Flynn. Cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, il se retrouve aspiré dans ce même monde de programmes redoutables et de jeux mortels où vit son père depuis 10 ans. Avec la fidèle confidente de Kevin, père et fils s'engagent dans un voyage où la mort guette, à travers un cyber univers époustouflant visuellement, devenu plus avancé technologiquement et plus dangereux que jamais...

Vous commencez à me connaître, je ne ferme jamais mon lecteur DVD à un type de film et j'aime à découvrir des univers différents à chaque fois. Néanmoins, il m'est toujours difficile de faire la critique d'un film que je n'ai pas aimé surtout lorsque c'est un genre qui n'est pas mon préféré. C'est le cas de Tron.
En effet, je n'ai pas vu l'original sorti en 1982 et je pensais en découvrir une version remise au goût du jour alors qu'il s'agit d'une suite. Certains éléments me manquaient donc. De plus, je ne suis pas fan des récits de science-fiction et encore moins des élucubrations informatiques. Pour comparer, j'ai beau avoir regardé plusieurs fois la trilogie Matrix, j'ai encore du mal à comprendre qui est le Mérovingien et à quoi il sert. Ce sont des scènes où mon cerveau se déconnecte immanquablement.
J'ai donc eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et les scènes qui étaient un reflet de la version de 1982 ne m'ont pas plus impressionnée que ça. Il est sûr que quelqu'un qui connaît le film original par coeur a de fortes chances d'être séduit par cette nouvelle version. La lecture n'est pas la même pour un novice.
Au-delà des scènes numériques qui sont certes pas mal construites, ne crachons pas sur tout, le scénario était insipide au point que nous avons adopté le mode "avance rapide" au bout d'1h de film. C'est tout dire...


dimanche 20 mai 2012

Projet reroll avant MoP (3)

Des nouvelles de mes rerolls qui avancent à leur rythme.

Elanne, gnome prêtresse, a atteint le niveau 70 et a enfin fini l'Outreterre. Ce n'est franchement pas le continent le plus passionnant. Le plus dur pour elle, c'est surtout de monter ses métiers de couture et d'enchantement, j'ai bien cru ne jamais atteindre le niveau 300 en enchantement et il me manque encore quelques étoffes de tisse-néant pour passer au palier au-dessus. Les métiers ne sont vraiment pas étudiés pour les rerolls, Blizzard considère encore que nous devons farmer autant qu'aux niveaux maximum de l'époque. Au niveau du template, je suis restée en discipline car je me suis aperçue que la spé ombre était un gouffre à mana tandis que la spé discipline était auto-suffisante (on récupère de la vie en tapant, que demander de plus ?).

Lierd, worgen druidesse, vient de passer le portail des Ténèbres au niveau 58. Je l'ai un peu boostée pour qu'elle récupère les quelques étoffes restantes pour Elanne qui pourra continuer son chemin en Norfendre. La spé équilibre est toujours aussi fun à jouer, j'ai hâte de pouvoir me transformer en oiseau. Pour ce qui est de ses métiers, je n'ai rien choisi pour l'instant car j'ai l'intention d'en faire une farmeuse herbo/minage et je préfère attendre d'avoir atteint le niveau maximum et avoir la compétence de vol maximale pour faire ça plus rapidement.


Piamy, draenei paladin, la petite dernière, poursuit tranquillement son chemin et commence les quêtes de Strangleronce du haut de son niveau 32. Croisons les doigts pour qu'elle récupère le raptor razzashi pour Cleophis... Je la joue surtout quand je suis un peu gavée des deux précédentes.

samedi 19 mai 2012

Captain America: First Avenger de Joe Johnston (2011)


Synopsis: Steve Rogers, frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull.

Toujours dans la série des Avengers, j'ai regardé Captain America dont je ne connaissais rien (en fait, comme la plupart des gens, je connais surtout Superman, Batman, Spiderman et Hulk...).
D'une manière générale, j'ai apprécié les personnages et la mise en place de l'intrigue qui reste à nouveau claire et cohérente (à croire que les Marvel sont autant destinés aux enfants qu'aux adultes). Les effets spéciaux sont très bien faits, l'humour est discret mais néanmoins toujours présent. Par contre, j'ai abhorré l'histoire d'amour complètement niaise entre Steve Rogers et Peggy Carter, c'est typiquement le genre de scènes mièvres que je déteste (la photo dans la boussole, rrrraaaaahhhh !) C'est à mon avis le gros point noir de ce film qui est par ailleurs très réussi.




dimanche 13 mai 2012

Mascotte #170

A l'occasion de la fermeture de son compte WOW et de son blog, Alehann, de Prêtresse d'Elune, a décidé d'organiser des concours pour gagner des mascottes. J'ai eu la chance de gagner le dernier en date et de me voir offrir le bébé hippogriffe cénarien. Merci beaucoup !!

mardi 8 mai 2012

Coco de Gad Elmaleh (2009)


Synopsis: Simon Bensoussan, dit « Coco », est un exemple de réussite sociale. Âgé de 40 ans, il a fait fortune grâce à son invention de l'eau frétillante, intermédiaire entre l'eau plate et l'eau gazeuse. Il s'est fixé comme objectif d'organiser la meilleure Bar Mitzvah pour son fils Samuel. Mais trop préoccupé par ce qui doit être « l'évènement international de l'année », Coco ne se rend pas compte que tous ses proches se désolidarisent progressivement.

Le film date un peu mais je voulais le voir depuis sa sortie en salles, l'occasion avait juste manqué. Mon avis est assez mitigé, je trouve qu'il y a du bon et du mauvais.
Commençons par le mauvais, d'autant plus qu'il s'agit du début. J'ai trouvé que la présentation du personnage et l'humour utilisé était vraiment lourd. Les jeux de mots à 2 francs 6 sous, très peu pour moi (genre: "la maison n'accepte pas l'échec"). La première partie du film est surtout un gros sketch puisque le personnage de Coco est d'abord un personnage régulier dans les spectacles de Gad Elmaleh. Je n'ai donc absolument pas accroché et il s'en est fallu de peu pour que j'éteigne ma télé et range le DVD.
Mais j'aime laisser une chance aux films et j'ai tenu jusqu'à la fin. Bien m'en a pris car l'épilogue est beaucoup plus intéressant que le prologue. On finit par s'attacher aux personnages, on devient une part de cette famille qui se déchire et on espère qu'elle arrivera à recoller les morceaux. La  dernière scène est tout de même assez abrupte, j'aurais aimé en savoir plus, mais d'un autre côté peu importe, l'important est le travail que Coco a effectué sur lui-même.
Une bonne impression générale donc, même s'il aurait mérité d'être davantage travaillé. Je suis par contre de nouveau déçue par la prestation de Manu Payet, je dois être hermétique à son jeu d'acteur, il est très loin d'être convaincant.