29 nov. 2014

La faiseuse d'anges de Camilla Läckberg

Quatrième de couverture: Pâques 1974. Sur l'île de Valö, aux abords de Fjällbacka, une famille disparaît sans laisser de trace. La table est soigneusement dressée pour le repas de fête, mais tout le monde s'est volatilisé. Seule la petite Ebba, âgée d'un an, erre, en pleurs, dans la maison abandonnée. L'énigme de cette disparition ne sera jamais résolue.
Trente ans plus tard, Ebba revient sur l'île et s'installe dans la maison familiale avec son mari. Accablés par le deuil et la culpabilité après le décès de leur fils, ils nourrissent l'espoir de pouvoir y reconstruire leur vie, loin du lieu du drame. Mais à peine se sont-ils installés qu'ils sont victimes d'une tentative d'incendie criminel. Et lorsqu'ils commencent à ôter le plancher de la salle à manger, ils découvrent du sang coagulé. C'est le début d'une série d'événements troublants qui semblent vouloir leur rappeler qu'on n'enterre pas le passé.
De son côté, Erica s'était depuis longtemps intéressée à l'affaire de la mystérieuse disparition sur l'île. Apprenant le retour de la seule survivante, elle se replonge aussitôt dans le dossier. Elle n'imaginait pas que tout avait commencé il y a plus d'un siècle avec une faiseuse d'anges. Elle n'imaginait pas que les secrets familiaux allaient mettre en péril l'une des personnes les plus importantes de sa vie.

Dernier roman de la saga Falk, La faiseuse d'anges est tout aussi efficace que ses prédécesseurs.
Nous retrouvons nos personnages suédois préférés et les suivons dans une nouvelle enquête où le passé tient une place très importante. Camilla Läckberg garde le même schéma de narration, avec alternance entre récit au présent et flashbacks et j'ai lu que certains lecteurs se lassaient. Personnellement, j'aime cette façon de faire et je me suis habituée à son style. Le suspense reste toujours prenant et la fin est une surprise, comme à chaque fois, le signe pour moi d'un polar réussi.

Une critique assez courte mais il est difficile de parler du 8ème tome d'une série sans risquer de spoiler. Et il s'agit surtout du plaisir de retrouver des personnages connus, les enquêtes sont toujours intéressantes mais le charme de la série tient dans le fait de suivre l'évolution des personnages, comme Mellberg. Les volumes pris individuellement ne sont pas forcément les meilleurs polars, il faut prendre l'ensemble en considération.

3 commentaires:

Maman Clémentine a dit…

Dans ma biblio depuis sa sortie mais je ne l'ai pas encore lu. La faute au club des blogueurs tout ça. ;) Hihi.

Cleophis Deeptizz a dit…

Hihi ;-)

50 Nuances de Maman a dit…

J'adore cette auteure. Je n'ai pu lire que les 3 premiers romans mais j'ai vraiment envie de lire les autres.

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